Elle commence son post avec "Cher réseau" sur LinkedIn : 3 blessés

Cela partait d’une banale recherche de stage ; Lucie, 21 ans, ne s’attendait pas à de telles conséquences au sein de son réseau professionnel.

« On n’en peut plus »

De source sûre, l’on sait qu’il s’agit du 371ème « cher réseau » du mois de juin. Pierre-Yves nous raconte son traumatisme qui l’empêche de trouver le sommeil depuis bientôt deux ans.

On n’en peut plus, c’est une forme de harcèlement moral. Alors qu’il suffit de traverser la rue pour trouver un stage rémunéré en sourires et en cafés, cette génération préfère passer son temps libre à publier des CV Canva sur LinkedIn. Moi, de mon temps, je n’avais pas Canva, ni de CV, ni de chaussures, ni même de vêtements. Et j’ai toujours trouvé du boulot.

Un bilan lourd

L’on recense 3 blessés légers après la publication du post de Lucie : deux contusions rétiniennes et un rhume carabiné pour Pierre-Yves, lequel considère que « ce n’est pas un hasard« .

D’autres victimes de « posts inspirants » sont à recenser. L’année dernière, un jeune Lyonnais s’était fracturé le poignet après avoir lu un carousel sur Idriss Aberkane. Pris de rage, il avait frappé un mur (malheureusement porteur).

Quelles solutions ?

Nous avons tenté de joindre le PDG de LinkedIn, Ryan Roslansky, pour lui faire part du grand désarroi français quant à la multiplication de ces incidents. Malheureusement, il avait piscine.

Selon Alain S., président du Syndicat Pour Être Réellement Mieux (SPERM), une solution à court terme serait de pleurer dans la douche en attendant que ça passe. Une alternative pacifique et bienveillante face à une génération qui ne fait visiblement pas l’unanimité.

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